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France Gall (Wikipedia).

Les chansons « brésiliennes » de France Gall

Dimanche nous quittait à 70 ans la chanteuse française France Gall, des suites d'un cancer. S'il est difficile d'être passé à côté des tubes Poupée de cire, poupée de son, Les sucettes, Résiste ou encore Il jouait du piano debout, l'influence de la musique brésilienne sur certains de ses titres est moins connue. Bom Dia Brésil recense pour vous les chansons « brésiliennes » de l'artiste.

- Comme nombre de chanteurs français, France Gall a succombé dès les années 1960 à la vague bossa nova. Robert Gall, son père, écrit plusieurs titres dont la musique s'en inspire, parmi lesquels Le premier chagrin d'amour (1964 - musique de Claude-Henri Vic) :

Et Y'a du soleil à vendre (1968 - paroles d'Hubert Giraud) :

- En 1968, elle reprend A banda de Chico Buarque... en allemand. Et cela donne Zwei Apfelsinen im Haar. Pour le moins surprenant.

- Elle récidive avec l'adaptation de Samba de Verão de Marcos Valle, toujours en allemand : So einen jungen Mann.

- En 1970, sur une musique du Brésilien Nelson Angelo et des paroles de Robert Gall, France chante Zozoï, qu'elle définit elle-même comme une « chanson folle, une chanson amusante, une musique d'été ». Pas vraiment le tube de l'été espéré, mais l'inspiration brésilienne est là et cette fois-ci, en français.

Plus haut que moi (1973) est une adaptation par Yves Dessca et Jean-Michel Rivat de Maria vai com as outras, de Vinícius de Moraes et Toquinho.

- Samba Mambo, 1975 (paroles et musique de Michel Berger) : le titre le plus célèbre de notre sélection. Il n'a toutefois de lien réel avec le Brésil que le terme samba, puisque sur le plan musical, on est bien loin du genre énoncé.

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