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(Guy Pichard/DR)

Graviity, l’appel du Brésil

Bom Dia Brésil a rencontré Graviity, cet extra-terrestre venu sur notre planète faire danser les humains et diffuser son message écologique. Venu au Brésil pour quelques dates, le jeune musicien français à l’identité secrète est en pleine tournée internationale et est justement au Brésil, le pays où il est le plus écouté !

(Guy Pichard/DR)

L’ambiance était assez surréaliste au Bosque Encantado O Paraíso dos Duendes (« le paradis des Gobelins »), ce festival de musique électronique organisé dans la périphérie de São Paulo début mai. Environ 5.000 personnes chauffaient sous le soleil dominical quand Graviity est arrivé sur le site, attendu par ses adeptes. S’en est suivi un show d’un peu de moins de deux heures, où l’alien alterne jeu de guitare, la launchpad et la crystall ball (contrôleur avec cinq capteurs de mouvement). Ce mélange de trance et avec une rythmique hardtek plait particulièrement au public brésilien, qui est même son premier pays d’écoute (le Mexique puis la France complètent le podium). « C’est important que je vienne dans ce pays », nous a déclaré le musicien. « Je n’explique pas l’engouement pour ma musique ici. Peut-être est-ce le côté chaleureux des Brésiliens qui colle bien avec ma musique ou les valeurs que j’essaie de diffuser autour » continue Graviity. Ce personnage de la scène musicale promeut en effet des messages positifs sur la planète et la nécessité de préserver notre environnement. Joli paradoxe à ce moment de la société brésilienne.

(Guy Pichard/DR)

Romance brésilienne

Ce n’est pas la première fois que Graviity vient au Brésil, l’an dernier le festival Moonworld de São Paulo l’avait accueilli. Prochainement, le 18 mai à l’E-trip d’Itirapina et la même nuit (pratique la soucoupe !) au festival Cyclus à Porto Alegre, le musicien reviendra à São Paulo en août prochain, à nouveau pour le Moonworld. « Internet et ses différents mode de consommation de la musique abolissent les frontières aujourd’hui. C’est formidable de visiter tous ces pays » conclut-il. Tout cela après seulement trois ans de carrière !

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